AMIGA – 1947

Musique : Carlos Viván Paroles : Horacio Sanguinetti

Traduction : Michel Brégeon

Hoy que estoy solo y enfermo Aujourd’hui, que je suis seul et malade
me regalas tu bondadTu m’offres ta bonté
y te acercas a mi ladoTu viens à mes côtés
para consolar mi mal. Pour apaiser ma peine.
Qué alegría me da verte,Quelle joie de te voir,
que placer oír tu voz; Quel plaisir d’entendre ta voix ;
Al mirarte los recuerdosEn te regardant les souvenirs
me hablan de tu gran amor. Me racontent ton bel amour 
Fuiste amiga en horas buenas Tu fus mon amie dans les bons moments
y en las malas mucho mas.Et dans les mauvais encore davantage.
Amiga,Amie,
ya se jugó el último dado de mi suerte… J’ai joué mon dernier coup de dés…
Amiga,Amie,
cómo envenena esta pena de perderte. Combien m’envahit la tristesse de te perdre.
Este verso es mi lágrima sinceraCe vers c’est ma plus sincère larme
para ti la verdadera compañera del dolor. Pour toi vraie compagne de ma douleur 
Amiga,Amie
ya se jugó el último dado de mi suerte…J’ai joué mon dernier coup de dés…
Qué me importa de la muerteQue m’importe de mourir 
si te llevo en el adiós. Si je t’emmène dans l’adieu.
Amiga,Amie,
ya se jugó el último dado de mi suerte…J’ai joué mon dernier coup de dés…
Qué me importa de la muerteQue m’importe de mourir
si te llevo en el adiós.Si je t’emmène dans l’adieu.
Fuiste amiga en horas buenasTu fus mon amie dans les bons moments
y en las malas mucho mas.Et dans les mauvais encore davantage.

Version 1947 :

Orchestre : Osvaldo Pugliese – Chant : Roberto Chanel

Association de Tango Argentin depuis 1992